En or mais hors norme alors !
Dans la continuité du travail initié à l’Atelier Demaret, Bernard François se « heurte » aux impératifs esthétiques liés à la commercialisation des bijoux de l’époque. Les matériaux nobles sont privilégiés et si l’artiste veut pouvoir vivre de son art, il doit pouvoir se fondre dans le moule de la société.
Entre ‘75 et ‘86, il réalise une série de bijoux pour une joaillerie située à Charleroi : les Polomé. C’est avec la collaboration de son ami Michel Louwette que Bernard François honore les commandes qui, à l’exception de l’emploi de l’or, sont libres.
Un vent de liberté dans ce monde traditionnel qui commence à se faire trop petit pour Bernard François.
Il finira par abandonner Demaret et se concentrer vers de la production de bijoux beaucoup plus sophistiqués.